Avec l’appui d’écritures innovantes, de diffuseurs éclectiques et de relais performants, une marque ou un nom devient une identité. Les plus grandes histoires se sont inscrites quelque part entre notre mémoire et nos sens : elles se nourrissent de créativité, de rêves et de technologies mises à disposition par celles et ceux qui y croient. Dès lors, la visibilité des clients de Trois Actes va bien au-delà du buzz éphémère. D’où son engagement à considérer leur besoin sur le long terme et d’y répondre dans le respect des objectifs confiés. Ainsi, Trois Actes développe une offre spécifique à chacune de ses prestations. Un scénario est conçu et éditorialisé pour chaque campagne. Le contexte a évolué : il ne s’agit plus d’être seulement visible mais de proposer des écritures nouvelles qui feront la différence dans un flot infini d’informations. Puis de raconter une histoire qui fera vibrer les spectateurs, auditeurs et lecteurs. Si les canaux de diffusion traditionnels et nouveaux sont les socles incontestables du développement d’un public, chaque média répond à une ligne éditoriale précise. Trois Actes comprend et étudie les tendances économiques, culturelles, politiques, et médiatiques, pour développer les formes d’écritures les plus pertinentes.

Chaque agence de relations publiques défend sa propre conception du métier. Trois Actes se positionne comme l’antichambre des rédactions et fournisseur de « matière première journalistique ». Beaucoup trop d’agences estiment à tort que les journalistes sont à leur service. Trois Actes défend la philosophie inverse, condition sine qua non du succès d’une campagne. En définitive, la sollicitation des rédactions répond à la loi de l’offre et la demande : l’acceptation d’un sujet par une rédaction implique une adéquation entre ses attentes et la proposition formulée par l’agence. Les médias demeurent les seuls garants de leur liberté d’expression, mais ils ne sont pas omniscients. Les relations publiques orientent la lumière sur une actualité qui, aussi pertinente soit-elle, aurait forcément échappé à l’attention des médias, déjà très sollicités par un insondable flot d’informations.